Intérieur et extérieur, transparence et opacité, exhibitionnisme et voyeurisme, féminin et masculin, toutes ces notions s’opposent ou s’unissent dans le cycle infini d’un labyrinthe sans issue. La vie ici est comme un métier à tisser dont la trame vivante est tissée à partir d’une myriade de fils et de chemins qui se ramifient.